Ishihara Tsubaki ||| Une jeune soeur Kimono de jotho [100%]

Notre coordinatrice de dix-neuf ans est une gracieuse jeune fille. Si on la regarde près, on s'apercevoir qu'elle a une taille fine et plutôt élancée dû au fait qu'elle fait beaucoup de danse traditionnelle comme ses sœurs. Ce qui explique ses penchants pour les yukatas et les kimonos. Sa taille est de un mètre soixante douze, ce qu'on la qualifie de la taille supérieure à une taille moyenne japonaise. Ses jambes sveltes sont ni trop rondes et ni trop minces, simplement assez musclées pour qu'elle effectue des marches de longue distance. Là aussi, la danse y est pour quelque chose. Son corps est assez athlétique, tout en restant bien proportionné ; la jeune fille n’a ainsi pas d’épaules trop fortes, et une poitrine assez généreuse. Enfin du moins, ce qu’elle a à ce niveau lui convient largement : elle n’est ni trop petite, ni trop grosse.

Montons vers son jolie visage encadré par une longue chevelure noire soigneuse, le tout attaché en une longue queue de cheval toute fine. Et le reste de ses cheveux qui lui fait une jolie frange sur le côté droit. Puis on redescend légèrement, on peut admirer deux jolis iris marrons pétillants et brillants dès qu'on la fixe. Mais on est plus frappé par sa pigmentation blanche de sa peau, on croirait qu'elle incarne le rôle de blanche neige. Sa peau ne supporte pas de resté longtemps sous un soleil de plomb, c'est pourquoi elle se trimballe avec une crème solaire dans son sac par précaution. Pour finir sur son visage, on peut apercevoir un nez fin légèrement retroussé et deux fines lèvres légèrement rosées. Souriante comme elle est, on peut voir la blancheur et l'alignement de ses dents.

vous la croiserez très souvent habillé en kimono ou yukata (varie en selon des saisons) car elle est coincée dans sa tradition de famille. De toute façon, ça lui va à merveille, notamment quand elle brille sous les projecteurs lors des concours de Pokemon. De temps en temps, pour se libérer un peu de cette tradition, elle s'habille normalement comme toutes les jeunes filles de son âge.

Tsubaki est une adolescente comme les autres. Elle a ses qualités, ses défauts, ses peurs, ses tics, ses habitudes. Elle a choisi la voie de la coordination pour montrer que la danse traditionnelle japonaise n'est pas vieillot et qu'on peut la pratiquer qu'on est jeune. Ayant était élevé strictement et par tradition, elle reflète la jeune fille pure et douce comme une vraie princesse. En bref, Tsubaki est élevée pour être une jeune femme avec de bonne manière et vous séduira par sa spontanéité. Ne croyait pas qu'elle se laissera marcher sur les pieds, elle est peut être d'une vulgarité sans nom. Généralement ou du moins tout le temps, elle affiche un magnifique sourire et s'entend généralement à tous de types de gens. Les plus durs des racailles sont sous le charme de temps douceur qu'elle dégage et qu'il leur donne raison de la protéger.

aux yeux des gens, elle se fait passer pour le belle jeune fille douce et parfaite qui ne semble pas avoir des soucis du quotidien. Tromper vous, quand Tsubaki vous accordes sa confiance et que le mot "grande amitié" est inscrit sur votre front, elle peut montrer ses émotions négatives ce qui la rend humainement touchante. Ce n'est que dans ses moments que ses amis n'oublie pas qu'elle peut être humaine et non pas une poupée en porcelaine qui ne fait que sourire. Tsubaki n'est pas très bavarde, elle préfère les vraies conversations qui ont du sens, si elle vous trouves un peu rébarbatif, elle peut changer de sujet sans que vous en rendez compte. Cette fleur a un don de persuasion étonnant. Elle peut vous faire changer d'avis seulement avec les mots mais aussi avec son aura de douceur et apaisant.

Si je devrai citer un défaut chez elle serait ; qu'elle se lasse facilement des choses. ce n'est pas dans ses habitudes de garder longtemps les choses, elle aime tout ce qui est nouveau et parfois elle adore commencer des choses sans jamais les finir. On ne sait pas si c'est la même chose dans les relations amoureuse. Tsubaki n'est jamais tombé amoureuse de qui que ce soit pour l'instant (sauf des amourettes sans importance). Sans ça, Tsubaki à passé dix-neuf années de sa vie dans le bonheur ; pas de décès chez la famille, pas de rupture amoureuse tragique, pas d'évènement particulier qui l'aurait fait tomber dans une dépression. Elle a toujours su saisir les occasions qui lui viennent ; des amis à qui compter, des sœurs formidables, un métier qui lui plait, et du fait qu'elle positive toujours. Oui, elle voit la vie en rose, même si qu'elle sait profondément que sa vie va être semer d'embûches durant son long et périple voyage à Jotho.

Paraît que ça avait commencé par un cri. Paraît que c’était un 18 avril 1990 à Rosalia. Paraît qu’elle était née. Ishihara Tsubaki. Mais elle ne s’en souvient pas, non, elle ne se souvient pas avoir vu le jour à cette date, elle ne sait plus si elle avait eu mal, si elle était heureuse, alors pour elle, elle n’a pas existé à ce moment là, ni le jour de son premier mot, ni celui où elle avait pleuré toute la nuit sans savoir pourquoi. Sa vie à commencé lors de ses premiers souvenirs. Ceux d’avoir été porté par une mère aimante, d’avoir été consolé par un père protecteur, d’avoir cueilli une fleur, d’avoir touché la neige, d’avoir regardé sans comprendre la foule, d’avoir vu le temps s’écouler lentement…

À six ans, elle entrait à l’école primaire. Aujourd’hui encore, elle se souvient des prénoms de ses amies d’enfance qu’elle n’a plus jamais revue. Miyabi, Megumi, Yui. Et aussi de ses premiers béguins amoureux. Aoi, Daichi, Haku, Nobu, etc. Des cœurs volés inconsciemment qu’elle aura toujours récupéré brisés. Ils ne l’aimaient pas, ils ne le savaient pas. Ce qui sortait l'ordinaire lors de ses jours du quotidien ; des activités traditionnelles. Lundi avec Komomo c'était l'art floral, le mardi avec Satsuki la calligraphie, le mercredi avec Tamao c'est la danse traditionnelle, le jeudi avec Sakura c'était la cérémonie du thé et le vendredi avec Umeko elle apprend à se servir d'un violon. Pour finir le week-end, c'était sa grand-mère qui prenait en charge tout son éducation pour faire d'elle une élégante jeune femme.

Au collège, c’était pareil, le seul changement ; elle avait troqué le petit casque jaune canaris pour l’uniforme marin. De nouvelles amies et aussi de nouveaux amours sans retours.
Sa vie en elle-même n’avait rien d’exaltante, c’était mademoiselle tout le monde vu de l’extérieur, du lundi au vendredi elle allait à l’école et le soir à ses activités, du samedi au dimanche elle jouissait du repos du moins quand sa grand-mère n'est pas dans les parages, peut-être riait-elle mardi tandis que mercredi ses yeux devenaient aussi noirs que des orages et finissaient un vendredi soir par faire pleuvoir un torrent de larmes sur le parquet. Il y avait des hauts puis des bas, c’était tout.

Elle n’avait aucune passion sur laquelle se jeter corps et âme, juste le plaisir de boire un jus d’orange après l’école, entamer un Taiyaki par la tête, lire un livre, se dire que le ciel est beau aujourd’hui, rougir en voyant le garçon qu’elle aimait, s’esclaffer de rire en repensant à un moment comique, s’amuser les jours de fêtes, etc. Des choses tellement anodines, qui reconstituaient ce qu’elle chérissait le plus au monde, plus que des amourettes inachevés, que des amitiés trop fortes, plus que tout… la vie.

Un jour sa famille ont décidé pour Tsubaki de prendre son envol pour qu'elle prenne conscience que les vraies valeurs de la danse traditionnelle n'est pas aussi vieillot qu'on le croit. C'est l'occasion rêvé pour notre fleur de briller sous les projecteurs.